samedi 3 novembre 2012

L’ENSEIGNEMENT : UN METIER NOBLE




Depuis le 08 octobre 2012, je comprends petit à petit pourquoi les scribes ou les griots étaient très respectés dans les civilisations antiques. En effet, c’est à cette date que j’ai commencé mon stage d’imprégnation d’enseignement d’histoire-géographie au lycée Lassa-Soumdina. Je me rends compte que l’enseignement est un métier qui est entouré de beaucoup de considérations, de respect, d’hommages… pour de bonnes raisons. On compare les enseignants aux scribes ou griots parce que, de nos jours ils sont considérés comme la mémoire de la société, les greniers du savoir. Le peu de temps que j’ai passé dans cette boîte m’a déjà transformé très profondément. On sent vraiment que c’est  la branche de la société qui transmet les savoirs, notamment le savoir savant, le savoir être et le savoir faire. Malgré les conditions de travail très difficiles, les enseignants, du moins ceux du lycée Lassa-Soumdina, sont très solidaires et cultivent toujours la bonne humeur entre eux. J’ai été surpris et surtout ému de voir les enseignants qui enseigné dans le même lycée il y a à peine six ans m’appeler “Collègue“ et les amis du village m’appeler “Monsieur“. Ces messieurs que je considère non seulement comme mes enseignants, mais aussi mes parents ne cessent de me dire qu’ils sont fiers de moi et de mon initiative. J’ai été aussi soutenu dans ce sens par Mr KPAKA Kaola, inspecteur chargé d’Histoire-Géographie-ECM qui, dès le deuxième jour de la rentrée m’a invité à son bureau pour me  donner des conseils afin de bien mener mon projet. Le meilleur accueil que j’ai reçu vient de mon directeur de stage, Mr BIDJAUK Mipabe. Calme, sympathique et dévoué, ce monsieur m’a prouvé son amour non seulement pour son métier, mais aussi pour ma personne. Il m’a permis de passer très rapidement du stade d’observation à la pratique. En effet, le lundi 29 octobre 2012, je fais ma première séance de pratique. C’est en 2nde CD (seconde scientifique). Mon cours porte sur la Préhistoire et l’Antiquité. A la fin des deux heures  de cours que j’avais, mon directeur de stage se déclare satisfait de ma prestation. Cependant, comme le début de toute chose est plus ou moins difficile, il n’a pas manqué de me notifier les points que je devais améliorer. Ce sont essentiellement des points qui concernent la forme. Il s’agit notamment de la gestion du temps, de la consistance dans les explications et la circulation dans les rangés. Ce que j’ai commencé à faire lors de ma deuxième séance. Je suis très fier de transmettre ce que j’ai appris depuis 1993, année mon entrée au cours primaire. Nonobstant ce bon accueil que j’ai eu de la part de l’administration et du corps enseignant, je note une déception  provoquée par les élèves. Ils ne m’ont jamais embêté mais je ne peux pas dire que je suis content d’eux. J’ai fait un constat très amer du côté des élèves. Ils n’apprennent pas leurs leçons, ne lisent pas les livres et ne se montrent pas inquiétés même ceux qui préparent des examens. Il faut souligner que c’est un problème à l’échelle nationale. La raison est toute simple. Le laxisme introduit dans l’enseignement par les nouveaux systèmes est à l’origine de cette dégradation. C’est le lieu ici d’attirer l’attention des responsables de l’éducation sur les effets néfastes des nouveaux systèmes inadaptés mis au point dans notre pays. Cependant, il est aussi vrai que les enseignants ont leur partition à jouer dans la résolution de ces problèmes. Leur rôle n’est pas seulement d’instruire, mais aussi et surtout d’éduquer ces élèves pour en faire de bons citoyens. A vous chers élèves, je dirais d'être disciplinés, acteurs en classe. Evitez d'être passifs ou consommateurs. Car il est vrai qu'un homme qui est timide avec son maître ne s'instruit pas.  Je n’ai pas de salaire ni prime de stage. Toutefois, je compte utiliser tout ce que j’ai appris jusqu’à ce jour pour aider à redresser cette génération qui fléchit de jour en jour. Avant de terminer, je dois préciser que mes objectifs en demandant ce stage sont multiples. Il s’agit d’apprendre à enseigner, à gérer un groupe d’hommes, me sentir occupé maintenant que je ne vais plus à la fac, autrement pour ne pas désapprendre, et surtout, satisfaire mon envie de transmettre. Sur ce, je demande à Dieu Tout Puissant de me donner les forces nécessaires afin de réussir mon pari. Que les enseignants du monde entier soient bénis. «  Le succès dépend de trois facteurs : le travail, le talent et quelque fois la chance ».
 

Sondou du Togo

dimanche 24 juin 2012




                                                           EH LA VIE!


VOTRE ESPRIT EST COMME UN JARDIN,  PRENEZ-EN BIEN SOIN EN Y PLANTANT QUE DES PENSEES POSITIVES. VIVEZ ET TRAVAILLEZ A LA BEAUTE DES CHOSES CAR C'EST CHAQUE JOUR QUI EST UNE VIE.

Sondou du Togo

jeudi 14 juin 2012


LE MONDE : QUEL CHANGEMENT ?
Beaucoup de personnes se demanderont pourquoi une telle  interrogation ? Mais vous comprendrez à travers le petit développement qui va suivre qu’elle  vaut la peine. Le changement a deux « pôles » : le positif et le négatif. Aujourd’hui, on ne comprend plus rien. On ne sait plus quelle direction  suivre. On ne connait plus le pôle de notre changement. La science et la technologie se développent  sans cesse. Mais malheureusement les résultats issus de ce développement contribuent à l’installation de l’animosité dans le monde. Les fusils crient de partout. Ce qui dérange le plus, ce sont des guerres civiles. Chefs d’Etat et populations  ne s’entendent plus.  Les premiers qui sont les plus forts tirent sur les seconds sans défense. C’est malheureux de voir ces vieux, femmes et enfants fuyant ces zones de tension. Il est impératif que la paix revienne en Syrie, au Congo, en Côte d’Ivoire, au Mali et ailleurs ; que les bombes n’explosent plus au Nigéria, en Afghanistan et ailleurs car la foi ou la religion se vivent  à travers les bons actes et dans le silence. Il est aussi temps que les pirates quittent le Golf d’Aden ; que les terroristes disparaissent du Sahel. En prenant le cas particulier de l’Afrique, elle ne ressemble pas au berceau de l’humanité. Son retard qui n’est que le résultat  du comportement de ses fils vient effacer ce seul bon titre qu’elle a. La corruption, le pillage, l’intérêt personnel, la malhonnêteté sont les termes qu’on utilise pour définir la mauvaise gouvernance en Afrique. Au  Togo, les médecins,  les enseignants et les étudiants sont sans doute d’accord avec nous sur cette définition. Ce qui fait plus mal au Togo, c’est que ces présumés gouvernants n’arrivent pas définir leur propre personnalité. Sinon pourquoi s’achèteraient-ils les grosses voitures pour ne rouler que sur les pistes qu’ils appellent eux-mêmes routes ?  Nous ne sommes pas d’accord si c’est de cette manière qu’il faut vivre avec notre temps dans un monde qui change. Nous devons changer de mentalité. La recette est toute simple :
 DIS A TON FILS
1       TU DEFENDRAS TROIS CHOSES
-          L’honneur, le foyer, la patrie
2       TU ESTIMERAS TROIS CHOSES
-          Le courage, la sincérité, la reconnaissance
3       TU EVITERAS TROIS CHOSES
-          La paresse, la vanité, la honte
4       TU CONTRÔLERAS TROIS CHOSES
-          Le caractère, le langage, la conduite
5       TU DETESTERAS TROIS CHOSES
-          Le vol, l’injustice, l’ingratitude
6       TU COMBATTRAS TROIS CHOSES
-          Le mensonge, la méchanceté, la lâcheté
7       TU SAUVEGARDERAS TROIS  CHOSES
-          La franchise, la liberté, la bravoure
8       TU  CULTIVERAS TROIS CHOSES
-          L’amour, la charité, l’humilité
9       ET ENFIN, TU N’OUBLIERAS JAMAIS TROIS CHOSES
-          La prière, le partage, le pardon
Si tout le monde arrive à respecter ces neuf points, on aura l’espoir que les futures générations ne vivront pas le même sort que nous. Il n’est pas impossible car « celui qui veut faire quelque chose trouve le moyen et celui qui ne veut rien faire trouve des excuses ».
Sondou du Togo 

vendredi 1 juin 2012


LE BAPTEME

Depuis la nuit du 07 avril 2012, je suis devenu un membre confirmé de la famille de Dieu par le baptême. La cérémonie a été une réussite et je profite pour dire mes sincères remerciements à tous ceux qui ont contribué à cette réussite. Je pensais ne pas citer de noms, mais permettez que je dise merci à la Soeur Léa et à tous les enfants qui avaient pris une part active à cet évènement. Je prie pour que l'amour et l'Esprit Saint de Dieu guident mes pas sur ce chemin. Je vous aime tous.

Sondou du Togo

LES VACANCES AU BENIN

Après avoir fini la rédaction de mon mémoire, j'ai décidé de passer quatre jours de vacances en république du Bénin. Les quatre jours ont été supers et restent inoubliables. J'ai apprécié l'environnement au Bénin, surtout le bon état des routes. Rien à avoir avec le Togo. Je dis merci à tous les Béninois surtout ceux avec qui j'ai passé les quatre jours.

Sondou du Togo

Je suis très heureux d'annoncer aujourd'hui que j'ai enfin fini mon mémoire et que j'attends la correction de mes deux directeurs pour soutenir. J'ai pris beaucoup de temps mais enfin le resultat est là. Je ne peux pour l'instant pas publier le document, car il y aura certainement beaucoup de choses à corriger après la lecture des directeurs. Mais je vais vous faire part de ma dédicace et des remerciements.


DEDICACE

A mon père feu Sondou Eglou et à ma mère Karabou Yawa, vous qui m’avez mis sur le chemin de l’école et qui m’avez encouragé moralement et matériellement, malgré vos petits moyens, voici le fruit de votre semence.

Aux familles Ruelle et Jeannier et à la Sœur Léa Magnan, vous qui avez sans cesse souhaité ma réussite et grâce à qui j’ai pu faire mes études universitaires, trouvez ici le couronnement de votre soutien et que ce document soit le fruit de votre indéfectible amour pour moi.

REMERCIEMENTS

            Au terme de notre travail, nous tenons à remercier du fond du cœur les enseignants du département d’Histoire de l’université de Kara et du département d’Histoire et d’Archéologie de l’université de Lomé, pour la formation qu’ils nous ont donnée.
            Nous remercions très particulièrement le Professeur Badjow Tcham, notre directeur de mémoire qui a accepté, en dépit de ses multiples occupations, de diriger notre travail avec ses sages conseils. Qu’il en soit vivement remercié.
            Nos remerciements vont aussi à Monsieur Dipo, notre codirecteur grâce à qui nous avons pu obtenir ce résultat.
            Nous disons également sincèrement merci à tous les enseignants du département d’Histoire de l’université de Kara notamment messieurs B. Nabe, K. Kouzan, N. Labanté, pour leurs conseils et encouragements.
            A l’association LEA TOGO, nous demandons humblement de trouver ici l’expression de notre profonde gratitude.
            A tous les Français qui sont passés par Kara et nous apporter leur soutien quel qu’il soit, nous disons merci.
            Docteur Philippe Auplat, Annick Leroy, Laurence Chopar, nous vous remercions du fond du cœur pour votre contribution dans la correction de ce document.
            A  toutes nos personnes ressources, grâce à qui nous avons réalisé le gros de ce travail, qu’elles trouvent ici la marque de notre reconnaissance.
            Nous adressons nos remerciements à tous les chefs traditionnels et  notables des localités visitées pour leur contribution.
            A tous ceux qui nous ont aidé comme interprètes, nous demandons de trouver ici la marque de nos meilleurs sentiments. Nous pensons particulièrement à Ahonassé Komlan de Ouidah,  à Tété Kossi Vivien, à Tabé Ganla-Gbati.
            Nous remercions du fond du cœur   tous nos amis et promotionnaires notamment Bilao Aklesso, Tcha-Tom Antoma, Tcha-Tom Sama, pour leur amour partagé. Qu’ils trouvent ici l’expression de nos meilleures pensées.
            Monsieur Mamam Taïrou, conservateur du musée régional de Sokodé, nous vous remercions très sincèrement pour votre soutien.
            Vous,  membres de la famille Sondou, nous adressons également nos remerciements pour l’amour qui nous unit.
            Nous prions enfin, tous ceux qui de près ou de loin, ont contribué d’une manière ou d’une autre à notre formation, à nos recherches, à la confection de ce document, et dont les noms ne sont pas cités, de trouver ici l’expression de notre profonde reconnaissance.


Avant la publication du document final, voici chers amis ce que je peux vous dire pour l'instant. Je prie pour que la correction du directeur aille vite car j'ai hate d'entrer dans la vie active.

Sondou du Togo
           






mardi 10 avril 2012

FINIR AVEC LA DISCRIMINATION RACIALE


Il y a de tès bons exemples des meilleures façons de vivre sur ces deux photos. Il fut un temps qu'on ne pouvait pas voir ces images. Il faut être tous ensemble pour un monde meilleur. Les beaux sourirs qu'on voit sur ces visages peuvent guérire le palu. Alors, faites comme eux.

Sondou du Togo

LES BLEUS EN ACTION















Cette année ils étaient encore venus pour apporter leur aide à tous les Togolais qui souffrent des problèmes des yeux. Du 12 au 22 mars 2012, ils ont consulté près de 2500 personnes et opéré près de 300. Félicitation à toute la mission. Le rendez-vous est pris pour l'année prochaine.

SONDON Pierre-Emile du Togo

jeudi 2 février 2012

QUE DIRE DE L'ANNEE 2011?





Beaucoup de personnes se sont certainement posé des questions sur mon état de santé ou ma capacité d’écrire. Je dis qu’elles ont raison car mon silence a été très long et était devenu inquiétant. Avant toute chose, je tiens à rendre grâce à Dieu pour la chance qu’il m’a accordée d’être compté parmi ceux qui ont accueilli l’année 2012. Qu’il nous protège de tout mal et nous donne tout ce que nous rêvons de façon individuelle et collective. Chers amis internautes, permettez qu’après ces vœux de bonne année, je dise un peu l’usage que j’ai fait de 2011 et ce qu’elle m’a réservé. Il faut d’abord dire que l’année qui vient de finir a été aussi naturelle que les autres. Il y avait sans doute des moments de joie et des moments de peine. Ceci est une loi. Pour ceux qui pensent que c’est faux, je leur dit que le bien et le mal ont toujours des niveaux différents quand ils arrivent dans notre vie. Ceux qui ne connaissent que le bien considèrent le bas niveau comme un échec en rapport avec le grand le succès. Il en est de même pour le mal. En ce qui me concerne, je vais commencer par ce qui m’a plus fait mal et finir avec les bonnes choses dans l’espoir que cela continue en 2012. Il faut dire que le pire pour moi en 2011 était de voir les proches mourir ; et cela m’amenait à m’interroger sur mon tour. Ce n’est pas prévisible, mais il ne faut aussi avoir peur de penser ainsi même si quelqu’un disait que « pour mieux vivre, il faut vivre comme la mort n’existait ». Les souvenirs sur ce plan sont très amers et je ne souhaite pas aller plus loin. Une autre chose qui n’a pas marché est mon échec de pouvoir soutenir mon mémoire de maîtrise. Je fais vraiment tête basse sur ce sujet. J’ai fait des promesses que je n’ai pas pu honorer. Je présente mes excuses à tous ceux qui m’ont apporté leur soutien dans ce domaine. Je n’ai toujours pas fini mon document et je ne souhaite pas avancer des arguments sur le pourquoi, je pense qu’ils ne peuvent même pas tenir. Il faut dire d’une façon simple que j’ai trop trainé. Alors, je ne fais plus de promesse sur la date de la soutenance, je veux que cela soit une bonne surprise pour tout le monde. Ce sont là les deux principaux évènements qui ont constitué ma page sombre de 2011. Qu’en est-il des moments de joie et de bonheur ?
D’abord, je dois dire que j’ai été très content de la sérénité qui a régné dans ma famille durant toute l’année. Dans ces conditions, la maman, mes frères et moi avons toujours été forts devants tous les problèmes. Cela ne peut que faire du bien à quelqu’un comme moi qui joue un peu le rôle de guide. Je peux aujourd’hui affirmer que la conséquence de cette ambiance est la bonne récolte que nous avons faite au cours de l’année en ce qui concerne nos champs. Surtout au niveau du maïs, nous n’avons pas regretté nos efforts. Encore, l’année 2011 a été bonne pour moi parce que j’ai pu finir certaines réalisations qui me permettent aujourd’hui d’être à l’aise. J’ai pu finir ma maison où je loge désormais avec plus de confort. Puisque j’ai maintenant accès à la connexion internet à domicile et aussi, j’ai pu acheter un compteur électrique personnel. Plus de comptes à rendre à quelqu’un. Et comme il est permis de rêver, je me dis que « le meilleur ne fait que commencer ». Et vraiment il ne fait que commencer, car au cours de cette année 2011, j'ai passé avec succès mon permis de conduire auto. Cela avait été depuis quelque temps un rêve, et tout le bonheur était pour moi de me voir déclaré admis le 05/08/2011 à la suite de l'examen organisé à Kara. Même si je n'ai pas encore une voiture, je peux maintenant être utile à quelqu'un. En sortant de mon entourage immédiat, je suis vraiment très heureux de constater à quel point mes relations amicales avaient été très bonnes. Les anciennes amitiés s’étaient renforcées et j’avais aussi fait de nouvelles rencontres. L’une des meilleures rencontres que j’ai faites et qui n’est pas du tout amicale, est celle du Révérend Père Marcel du Foyer de la Charité d’Alédjo. Au cours d’une visite effectuée le 08/11/2011 avec le couple Ruelle, la Sœur Léa, Marie-Claude et la petite Catherine, j’ai été content de voir un centenaire aussi solide ; pas forcement physiquement mais spirituellement. A la fin de la visite, je n’avais pas manqué de dire à tous les autres que j’avais le sentiment d’être le premier bénéficiaire de la visite. Non seulement nous avons été tous bénis par le Père, mais celui-ci avait consacré un bon moment à mon travail. D’abord il m’avait félicité pour le choix de mon thème de recherche qu’il trouve très pertinent, et il a ensuite fait un commentaire sur le sujet dont je n’ai pas manqué de tenir compte pour la suite de ma rédaction. Aujourd’hui le bonheur pour moi est de constater que je n’ai pas fait un choix anodin pour mon mémoire de maîtrise. J’ai constaté aussi au cours de cette année que je représente quelque chose pour mes enseignants. Beaucoup d’envie de travailler chaque fois que Mrs NABE, KOUZAN, LABANTE et DIPO mon co-directeur me voient et m’encouragent à finir mon mémoire. C’est vraiment un réel bonheur de rencontrer son enseignant et discuter avec lui dans un bon esprit de maître et élève. Le seul regret que j’ai eu dans ce sens était de voir quand même que ce ne sont tous mes enseignants qui me connaissent après quatre ans de vie commune. La preuve c’est que Mme NAPALA ne m’avait pas reconnu comme son étudiant le 01/11/2011 à l’aéroport de Lomé. Est ce pour dire que je n’avais pas été un bon étudiant ? Je dirai « non » si vous me donnez l’occasion de me juger moi-même. J’avoue que j’avais été vraiment déçu et désolé. Je dois finir et avant de finir, j’aimerais demander à vous chers parents, amis et enseignants de bien vouloir m’excuser de n’avoir été toujours droit envers vous au cours de l’année 2011. Je vous promets que le meilleur apparaitra durant cette année 2012 que nous avons tous déjà bien commencé j’espère.



sondou du Togo